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Le salon de mrs pepys

~ carnet de lecture

Le salon de mrs pepys

Archives de Tag: Italie

Edmonde

25 lundi Fév 2019

Posted by mrspepys in Biographie - autobiograpie, Littérature contemporaine, Littérature française

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biographie, Famille, Histoire, Italie, souvenirs

Un personnage atypique et une époque (l’entre-deux-guerres et la Seconde Guerre mondiale) qui fait toujours recette : cet hommage à la jeunesse d’Edmonde Charles-Roux a tout d’un portrait classique, destiné à plaire. Entre recherches documentaires et ajouts fictionnels pour remplir les blancs de l’histoire, cet Edmonde est une manière de reconstitution historique, où les faits sont scellés élégamment d’un ciment littéraire de qualité.

Si le propos n’est pas en soi d’une grande originalité, l’ouvrage a le mérite de se lire avec plaisir. Le style est élégant, parsemé de pointes d’humour. L’admiration de l’auteur pour son personnage est palpable. Derrière l’écrivain se tient une femme sensible et sensée, qui ne s’appesantit pas sur ses états d’âme. Les émotions tiennent néanmoins une place importante dans ce récit, mais sans jamais basculer dans le sentimentalisme ou le pathos. Le deuil d’Edmonde Charles-Roux, à qui son amour de jeunesse est enlevé brutalement, est mis en scène avec retenue et dignité. Dans son combat pour venir en aide à sa sœur autant que dans ses emportements contre un supérieur irritant se lisent une volonté sans faille et un attachement à des valeurs inculquées par une famille républicaine convaincue.

Entre les extraits de lettres empruntées à la correspondance d’Edmonde Charles-Roux et le récit, point de solution de continuité. Un portrait réussi, en somme.

Edmonde, Dominique de Saint-Pern, 2019.

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Les tribulations d’Arthur Mineur

20 dimanche Jan 2019

Posted by mrspepys in Littérature étrangère, Littérature contemporaine

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ELLE, Italie, Livres, Paris, souvenirs, Voyages

A mi-chemin entre Le tour du monde en 80 jours et Les tribulations d’un Chinois en Chine, le roman d’A. S. Greer a de faux airs de roman d’aventures. Le prétexte même du périple est un peu fou : Arthur Mineur, dont le nom est un écho manifeste à la condition de celui qui le porte, cherche par tous les moyens à justifier son absence au mariage d’un ancien amant. Pour se fournir une excuse recevable, il décide de répondre positivement à toutes les invitations qui lui ont été faites, même par-delà les océans.

Chaque étape de ce voyage improvisé apporte son lot de péripéties et de surprises, qui conduisent le personnage principal à s’interroger aussi bien sur son passé que sur son avenir. Les situations cocasses s’enchaînent. Sous des dehors un peu farfelus, le propos largement teinté d’ironie amène les personnages autant que le lecteur à s’interroger sur des sujets tout à fait sérieux, comme la solitude et la vieillesse, ou le métier d’écrivain et le génie. L’auteur en profite pour écorner gentiment le petit monde de la littérature, dénoncer avec drôlerie ses travers.

L’intelligence de ce roman tient enfin dans sa capacité à construire, comme une trame à peine perceptible, une intrigue qui se dévide en contrepoint des aventures abracadabrantesques d’Arthur Mineur. Parce que dans toute histoire d’aventures se niche une romance.

Les tribulations d’Arthur Mineur, Andrew Sean Greer, 2017.

La Loi de la mer

09 dimanche Déc 2018

Posted by mrspepys in Essais

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ELLE, Famille, Italie, migrations

Pour beaucoup, ce n’est qu’un nom entendu de temps à autre dans les médias, associé à un nombre, prononcé d’un ton funèbre. Davide Enia donne corps à Lampedusa, terre la plus méridionale d’Europe, mais rattachée géologiquement à la plaque africaine.

Loin du pathos habituel quand il est question des migrants tentant la traversée de la Méditerranée, ce texte mêle le récit de ses séjours sur l’île à celui de ses relations avec son  père et son oncle vieillissants. Si la mort est présente, l’auteur met davantage l’accent sur les vivants, les habitants de Lampedusa, les volontaires, les marins et plongeurs, mais aussi les rescapés. Les migrations clandestines ne se limitent pas à des chiffres à Lampedusa, même si certains, qui recensent ceux qu’il a été impossible de sauver, ne peuvent s’oublier. C’est le point de vue des insulaires, aidant comme ils le peuvent les naufragés, qui prime. Avec une élégante retenue et beaucoup de délicatesse, Davide Enia imprime dans l’esprit de son lecteur des images autant que des mots, qui rendent hommage au courage des hommes et des femmes qui s’embarquent avec l’espoir d’accoster en Europe autant qu’à ceux et celles qui les accueillent, les réconfortent et parfois les sauvent in extremis d’un destin funeste.

            La part plus personnelle de l’ouvrage apparaît en filigrane. Elle est une manière de respiration, où se resserrent des liens familiaux. Un fil commun relie néanmoins ces deux aspects, celui de la fragilité de l’être humain, qu’il soit ballotté au gré de son parcours migratoire ou confronté à la douleur plus intime de la maladie. Sur ce rocher, entre Europe et Afrique, Davide Enia regarde triompher les valeurs humanistes.

La loi de la mer, Davide Enia, 2017.

 

Un coin de tableau #29 : épiphanie

03 dimanche Jan 2016

Posted by mrspepys in Un coin de tableau

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Italie, peinture

fra_angelico_adoration_des_magesCertaines camarades blogueuses proposeront sans doute de bien jolies galettes pour ce jour des rois. Mes talents culinaires n’étant pas assez développés, je me contenterai de l’Adoration des mages de Fra Angelico (en collaboration avec Filippo Lippi).

Pietra viva

06 jeudi Août 2015

Posted by mrspepys in Littérature contemporaine, Littérature française

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Arts, biographie, Italie, souvenirs

couvpietravivaLe décès d’un jeune moine auquel il était attaché bouleverse Michel-Ange. Il précipite son départ pour Carrare, où les montagnes dissimulent le marbre indispensable à la réalisation de sa prochaine oeuvre, le tombeau commandé par le pape Jules II. Des carnets de croquis réalisés nuitamment aux carrières arpentées toute la journée, l’artiste tâche de ne penser qu’à son travail. Pourtant, aux côtés des carriers, au contact d’un enfant qui vient de perdre sa mère, grâce à la Bible offerte par le jeune moine disparu, Michel-Ange renoue avec des souvenirs qu’il s’était efforcé d’oublier. Et l’oeuvre en gestation se nourrit de l’émergence de sentiments nouveaux.

Faire de Michel-Ange le personnage d’un roman n’est pas inédit (voir ici), et l’idée semble avoir encore de beaux jours devant elle car les lecteurs se sont, une fois encore, enthousiasmés. Ce roman m’a cependant laissée un peu sur ma faim. La froideur de Michel-Ange, le mystère peu utile qui entoure le décès du jeune moine, l’impression de survoler les différents personnages secondaires ne m’ont pas permis d’entrer pleinement dans un roman où les différents chapitres semblent juxtaposés plus que liés entre eux. Certains passages très poétiques sont agréables, et l’évolution de Michel-Ange au cours de son séjour pas inintéressante. Mais il reste toujours un je-ne-sais-quoi maintenant le lecteur à distance. Cette « pietra viva » manque tout bonnement de vie. Et le choix de la couverture en édition de poche est surprenant : pourquoi n’avoir pas choisi une oeuvre sculptée plutôt que peinte, de Michel-Ange ?

Pietra Viva, Léonor de Récondo, 2013.

Brèves de lecture

04 samedi Avr 2015

Posted by mrspepys in Littérature étrangère, Littérature contemporaine

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en bref, Famille, Italie, Venise

Pour les trajets quotidiens, les petits livres de poche présentent bien des avantages. Aussi peu lourds qu’encombrants, ils trouvent assez naturellement leur place dans un cartable débordant de copies et autres documents comme dans le sac à main, entre deux trains.

Voici donc deux courtes lectures qui ne nécessitent pas un billet dédié, mais qui ont su agrémenter joliment mes pérégrinations sur le réseau Transilien.

couvmaldepierresLoin de l’agitation qui avait accompagné sa première publication en français, je viens seulement de lire Mal de pierres. C’est une belle histoire, peuplée de personnages touchants. La narratrice évoque sa grand-mère, celle de ses souvenirs, mais aussi celle d’une jeunesse qui lui a été contée. Une histoire d’amour contrarié, qui finit bien malgré tout.

La simplicité de ce court roman lui donne un charme indéniable. Dans l’édition de poche a été ajouté le texte d’une intervention de Milena Agus lors d’un colloque. Elle cherche à expliquer ce qu’écrire signifie pour elle. La modestie dont elle fait preuve la rend plus sympathique encore, et encourage à découvrir d’autres de ses romans.

Mal de pierres, Milena Agus, 2006.

couvunesaisonaveniseLe second roman a été acheté sur un coup de tête, uniquement parce qu’il y était question de Venise. L’été 1939 commence à peine, et Marek, jeune Polonais, attend les vacances avec impatience car elles doivent le mener à Venise. Les aléas des relations avec le voisin allemand ruinent ce projet, et Marek passe finalement l’été à la campagne, chez sa tante Weronika. Une fuite dans la cave, et c’est finalement Venise qui vient à Marek.

En une centaine de pages, on se laisse embarquer dans l’univers de ce gamin qui ne comprend guère ce qui se passe autour de lui. Son imagination et la naïveté de l’enfance déposent comme un filtre sur les événements tragiques de l’été 1939.

Une saison à Venise, Wlodzimierz Odojewski, 2000.

Souviens-toi

10 lundi Fév 2014

Posted by mrspepys in Littérature jeunesse

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Famille, Histoire, Italie, Livres prêtés

couvsouvienstoiLors du dernier Salon du Livre pour la jeunesse de Montreuil, j’ai découvert une collection des éditions Gallimard qui propose des romans aux thèmes plus variés que les sempiternels magiciens / sorciers / vampires et consorts. Une de mes collègues a craqué pour Souviens-toi, qu’elle m’a gentiment prêté.

Joséphine se souvient de sa soeur jumelle, Juliette. Un demi-siècle après sa mort, le manque est toujours aussi profond. Pour faire la lumière sur cette disparition, elle se décide à faire face à son assassin présumé, Armand, le petit ami de Juliette.

Mêlant souvenirs des vivants, journal de Juliette, passé et présent, c’est un récit complexe pour de jeunes lecteurs qui est proposé. Chacun des protagonistes ne connaît que certains pans de la vie de Juliette. Le secret de sa famille notamment, si lourd à porter, est une clé de sa disparition. Pour s’y frotter, Joséphine trouve dans sa voisine, qu’elle s’était pourtant jurée de garder à distance, une alliée de premier ordre.

Les thèmes abordés dans ce roman ne sont pas aisés à présenter à de jeunes lecteurs. Ils sont cependant traités ici avec une grande délicatesse, et agrémentés de quelques parenthèses plus légères, parfois drôles. Les relations humaines, au sein de la famille comme avec voisins ou amis, sont au coeur de l’intrigue. L’auteur montre combien il est difficile de comprendre les autres, de les aider au bon moment. Elle sait aussi rendre avec vraisemblance l’atmosphère d’après-guerre, quand l’heure est venue de faire les comptes.

Merci, Mélanie !

Souviens-toi, Elisabeth Combres, 2013.

Un coin de tableau # 9

15 dimanche Déc 2013

Posted by mrspepys in Un coin de tableau

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Histoire, Italie, Musée

En dépit des intenses occupations professionnelles du moment, j’ai eu l’occasion d’aller me changer les idées au Musée Maillol. L’exposition sur les Etrusques met à l’honneur les objets du quotidien, ainsi que ceux liés aux rites mortuaires. Ce qui a le plus retenu mon attention (et a réveillé une envie d’Italie), ce sont les peintures qui ornaient la tombe du navire, à Tarquinia. Elles sont présentées dans une tombe reconstituée, telles qu’elles l’étaient originellement, avant de rejoindre le musée archéologique de Tarquinia.

tombe_du_navire_tarquinia

Fresques de la tombe du navire, Tarquinia

Une exposition intéressante, à noter pour les amateurs d’histoire antique.

Le Pont des Assassins

21 lundi Oct 2013

Posted by mrspepys in Littérature étrangère, Littérature contemporaine

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Histoire, Italie, Venise

couvpontdesassassinsToujours dans la veine des lectures vénitiennes, voici un épisode des aventures du capitaine Alatriste. Sans avoir lu aucun des romans (six, tout de même) qui précèdent Le Pont des Assassins, sans avoir vu (ni même entendu parler avant la rédaction de ce billet) l’adaptation cinématographique, j’ai lâchement ajouté ce roman à ma PAL pour sa couverture (la Salute sous la neige, ce qui est un peu étrange car sa construction a été décidée trois ans après les faits de l’intrigue…) et pour l’époque (le si fascinant XVIIe siècle).

A la veille de l’hiver 1627, le capitaine Diego Alatriste et son fidèle lieutenant Inigo Balboa (le narrateur) débarquent à Naples après une rude expédition contre la Sublime Porte. Sur le quai même, ils sont accostés par un messager chargé de les conduire vers leur nouvelle mission : l’assassinat du doge vénitien. Prévu le soir de Noël, cet attentat plus que risqué nécessite de prendre moult précautions et entraîne d’étranges appariements au sein des conjurés.

En un peu plus de trois cents pages, Arturo Perez-Reverte propose un roman de cape et d’épée plus que convaincant. Les personnages font plus vrais que nature, et ils sont dépeints avec suffisamment de soin pour qu’on s’attache à eux, même sans avoir lu leurs précédentes aventures. Les secrets de la conjuration, les querelles d’honneur, les imbroglios diplomatiques, rien n’est laissé au hasard. Si l’intrigue se dévide avec une relative lenteur, les pages se tournent facilement en raison de la minutie mise dans la reconstitution du contexte, tant grâce aux nombreuses références historiques qu’aux descriptions majestueuses de la Sérénissime. On trouve dans ce roman comme un petit air, fort sympathique, des Trois Mousquetaires. Un bémol néanmoins : quelques répliques de dialogue se font en italien ou en espagnol, sans qu’aucune traduction soit proposée en note de bas de page, comme il est d’usage. C’est fort dommage, et très frustrant, quand on ne maîtrise pas ces langues…

Cette première incursion dans l’univers du capitaine Alatriste a été suffisamment agréable pour que j’envisage d’explorer d’autres de ses aventures, et peut-être de visionner le film avec Viggo Mortensen s’il venait à croiser mon chemin.

Le Pont des Assassins, Arturo Perez-Reverte, 2012.

Emmaüs

L’imprévisible

05 samedi Oct 2013

Posted by mrspepys in Littérature contemporaine, Littérature française

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Arts, Famille, Italie, peinture

coulimprevisibleA plus de soixante ans, Guido Gianotti est à la retraite. Sa passion pour l’histoire de l’art, qu’il a longtemps enseignée, le conduit parfois à jouer les experts. C’est pour estimer un tableau dont elle souhaite se défaire qu’il rencontre Anne-Catherine. Elle est plus jeune, séduisante, et son tableau se révèle d’un intérêt tout à fait particulier. A mesure que Guido avance dans ses recherches sur cette peinture de la Renaissance, les liens se resserrent avec Anne-Catherine, malgré la différence d’âge et de milieu social.

L’art est encore à l’honneur dans ce roman de Metin Arditi, comme dans Le Turquetto et Prince d’orchestre, qui lui sont postérieurs. C’est visiblement un thème qui est cher à l’auteur, tout comme ceux du vieillissement ou de la difficulté à trouver sa place dans un groupe de la société qui n’est pas le sien.

Le personnage central, Guido, est tiraillé entre ses envies et les contraintes liée à l’âge. Les années lui ont apporté une plus grande sagesse, des connaissances nombreuses dans son domaine de prédilection et un carnet d’adresses bien rempli. Il n’en est pas moins frustré de sentir qu’il contrôle plus difficilement son corps, surtout quand il est question de la bagatelle. La présence de son fils, qui lui ressemble tant qu’il lui rappelle ce qu’il était il y a peu, rend la situation encore plus pénible. Guido, autrefois charmeur invétéré, doute. Il craint de n’être plus à la hauteur. Et, quand enfin il retrouve confiance, la réalité le rattrape. A ce sujet, le dénouement du roman n’est pas un secret, amené qu’il est par le prologue. Le coeur de l’intrigue est présenté comme un compte-à-rebours, chaque chapitre ramenant peu à peu à la situation introduite dans ce prologue.

Ce qui a le plus retenu mon attention reste néanmoins l’enquête menée autour du tableau qu’Anne-Catherine veut vendre. Les différentes étapes qui mènent à identifier l’artiste, puis l’importance de l’oeuvre, ménagent une forme de suspense. Pas de retournements rocambolesques, mais un travail d’expert conduit avec minutie et ordre, comme on aimerait en voir davantage dans les romans. La vraisemblance est sauve, et cela permet de laisser une plus grande place aux personnages, qui ne se réduisent par à leur rôle d’enquêteur.

Tout cela tient en moins de deux cents pages, d’une richesse et d’une finesse admirables. Une fois encore la plume de Metin Arditi a su me séduire. J’espère que son dernier roman réserve d’aussi plaisantes surprises.

L’imprévisible, Metin Arditi, 2006.

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