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Le salon de mrs pepys

~ carnet de lecture

Le salon de mrs pepys

Archives de Tag: Découvertes

En bref : de retour après une longue pause

31 lundi Juil 2017

Posted by mrspepys in Inclassable

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Belgique, Chine, Découvertes, en bref, Histoire, Isabel Dalhousie, Japon, Lire en anglais, Venise

Les tourbillons de la fin d’année scolaire, entre examens, corrections, résultats et préparation de la rentrée prochaine, puis une immersion progressive dans les vacances, avec un séjour au bord de l’océan, ont nécessité un longue pause sans billet. Pendant ces quelques semaines, j’ai simplement eu envie de lire, sans me soucier de ce qui serait chroniqué ou non, juste pour le plaisir. Des romans, des polars, quelques BD, des essais (surtout des récits de voyage) se sont succédé. Difficile de dire encore si toutes ces lectures trouveront leur place ici. A suivre, au cours des jours et semaines à venir, des billets plus réguliers.

En attendant, ma PAL fond gentiment.

Et tous seront surpris

29 samedi Avr 2017

Posted by mrspepys in Littérature étrangère, Littérature contemporaine

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Belgique, Découvertes, Famille

Voici un titre excellemment choisi ! Dans ce recueil de treize nouvelles la surprise est autant celle des personnages, confrontés à des situations qui les désarçonnent un tantinet, que celle du lecteur, souvent étonné de la chute des différents textes proposés.

Il est principalement question de relations humaines, entre époux, entre collègues de travail, entre enfants et parents, entre amoureux ou amants. Mais point de bons sentiments ou de fins gentillettes. Le cynisme tient le haut du pavé dans ces tranches de vie d’apparence si ordinaire. Et le style de l’auteur, dépourvu de fioritures inutiles, vient élégamment amadouer le lecteur qui, à chaque fois, se laisse surprendre.

Une lecture enthousiasmante, permise par les Editions Quadrature qui ont soutenu le concours de clôture du mois belge 2016.

Et tous seront surpris, Monique Persoons, 2016.

Trois grands fauves

04 samedi Fév 2017

Posted by mrspepys in Littérature contemporaine, Littérature française

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Découvertes, Famille, Histoire

couvtroisgrandsfauvesRepéré chez une camarade blogueuse voici quelque temps, cet ouvrage difficilement classable a de nouveau suscité ma curiosité après qu’une collègue de Lettres a suggéré que nous organisions une rencontre entre nos élèves et l’auteur, Hugo Boris.

Les trois grands fauves en question sont Georges Danton, Victor Hugo et Winston Churchill. Ils ont en commun une extraordinaire énergie, qui leur fait appréhender la vie avec rage. Hugo Boris ne cherche pas à réaliser des biographies, mais à saisir des tranches de vie révélatrices de la personnalité de chacun de ces grands hommes. Il brode autour de faits historiques et donne du corps à des événements de leur vie personnelle. On tremble avec Danton. On lève un sourcil devant le récit des séances de spiritisme chez les Hugo. Et on admire la bravoure, mâtinée d’inconscience, du jeune Churchill.

Une lecture agréable, qu’il va maintenant falloir introduire auprès des élèves car rendez-vous est pris avec Hugo Boris dans le cadre de la Quinzaine de la librairie.

Trois grands fauves, Hugo Boris, 2013.

En bref : librairies de vacances

16 mardi Août 2016

Posted by mrspepys in Inclassable

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Découvertes, en bref, librairie

Deux semaines se sont écoulées depuis le dernier billet, deux semaines placées sous le signe des vacances en famille. Cette petite pause a été l’occasion de découvrir deux librairies de la côte d’albâtre.

Encre_marineLa première, Encre marine, est située à Eu. Si cette commune de Seine-Maritime est réputée pour son château royal, les quelques rues commerçantes que nous avons arpentées n’étaient pas très vivantes. Dans un quartier un peu tristounet la devanture d’Encre marine fait immédiatement envie. L’espace n’est pas immense, mais le choix de livres, pour adultes comme pour enfants, est plutôt riche. On trouve aussi, dans une partie à l’arrière de la boutique, des jeux pour enfants. Quelques tables et fauteuils invitent à la lecture, mais aussi à la dégustation d’un thé ou d’un café.

grande_ourseLa seconde est La Grande Ourse, à Dieppe. Cette librairie-café toute jeune est à quelques minutes du front de mer, à deux pas de l’église. Ce sont les présentoirs pour cartes installés sur le trottoir qui ont retenu notre attention. Et une fois le seuil franchi, il est impossible de résister au charme des lieux. Une belle sélection de romans et d’ouvrages sur la région occupe le rez-de-chaussée, tandis que l’étage est dédié aux enfants et aux BD, mais aussi à la dégustation du thé ou café en semaine (accompagné du gâteau du jour…) et d’un déjeuner à plat unique le samedi. Non seulement la librairie est agréable, mais en plus la libraire est charmante, très à l’écoute de ses clients (même les plus petits…).

Je profite enfin de ce petit billet pour mettre à l’honneur la librairie qui me faisait rêver jadis, aux temps de ma jeunesse, à savoir Les Passeurs de Textes, installés à Troyes. La diversité de l’offre et l’intelligence de l’organisation des lieux en font un passage quasi obligé lors de mes retours en Champagne. J’y ai d’ailleurs trouvé quelques pépites à l’occasion de ma dernière visite…

L’Enfant dans la Tamise

22 vendredi Avr 2016

Posted by mrspepys in Essais

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Afrique, Découvertes, ELLE, Londres

couvenfantdanslatamiseA l’automne 2001, le corps d’un jeune garçon est repêché dans la Tamise. Il a subi des mutilations qui laissent penser à un meurtre rituel. Richard Hoskins, professeur spécialiste des religions d’Afrique, est mis à contribution par Scotland Yard. Lorsqu’il émet ses premiers avis sur cette affaire, il est loin de penser qu’elle va faire de lui un expert dans le domaine et réveiller des souvenirs qu’il s’efforçait de tenir à distance.

Le sous-titre (« Meurtres rituels et sorcellerie au cœur de Londres aujourd’hui) et la quatrième de couverture ne m’ont pas vraiment emballée. C’est donc avec réticence que j’ai entamé le dernier document de la sélection. Après une cinquantaine de pages toutefois, grâce à un style assez sobre, qui n’empêche pas l’auteur de partager ses impressions et ses sentiments, le charme a commencé à agir.

Non seulement le mystère qui entoure la découvert d’un cadavre d’enfant dans la Tamise pique la curiosité (on aimerait bien savoir si l’enquête aboutit), mais le parcours de l’auteur, qui se retrouve un peu expert malgré lui, suscite l’intérêt. C’est un subtil équilibre auquel aboutit cet ouvrage, où vies professionnelle et personnelle se nourrissent l’une l’autre. Le propos est en lui-même stupéfiant, car il est difficile d’imaginer que des pratiques aussi brutales que ces exorcismes soient pratiquées avec le consentement des familles. Le poids des superstitions et l’emprise de certaines Eglises sont décrits avec une grande clarté, sans jugement de valeur.

Au-delà des investigations de Richard Hoskins, c’est sa relation avec l’Afrique, et en particulier le Congo, qu’il est passionnant de découvrir. Si, au terme de chaque voyage, il se jure de ne pas remettre les pieds dans ce pays, sa connaissance du territoire comme de la culture font de lui la personne idéale pour mener à bien les missions qui lui sont proposées.  Le portrait qu’il dresse du Congo est aussi inquiétant que l’indifférence avec laquelle est le pays est considéré.

Cet ouvrage s’est finalement révélé instructif et passionnant, et il encourage à se renseigner davantage sur un sujet plutôt méconnu.

En bref : des raviolis, du miel et du jazz

23 mercredi Déc 2015

Posted by mrspepys in Inclassable

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Découvertes, en bref, Musique

quelques lectures pour commencer

couvfractaledesraviolisUn  voyage en TGV m’a permis (outre de rêver les yeux ouverts en découvrant les machines de l’Ile de Nantes) de dévorer La fractale des raviolis. Un roman à la manière des poupées gigognes, chaque chapitre faisant découvrir une histoire dans la précédente, jusqu’à les refermer les unes après les autres. Les différentes intrigues s’emboîtent avec une précision incroyable, tout en proposant des univers et des personnages d’une grande variété. L’apparente simplicité du style et le ton souvent pince-sans-rire font le reste. Les camarades blogueuses ont beaucoup écrit sur ce roman quand il a été publié, et elles ont très largement partagé le plaisir de le dévorer.

La fractale des raviolis, Pierre Raufast, 2014.

couvapiculteurUne couverture dans les mêmes tons, mais bien moins d’enthousiasme pour évoquer L’Apiculteur de Maxence Fermine. Le personnage d’Aurélien Rochefer, jusqu’au-boutiste de l’apiculture, doux rêveur et aventurier un peu malgré lui, n’a pas réussi à me séduire. Sous des dehors d’idéalisme se cache en fin de compte une forme d’égoïsme assez agaçante.

L’Apiculteur, Maxence Fermine, 2000.

Et, entre deux lectures (notamment pour le prix des lectrices ELLE), il reste un peu de place pour la musique (à défaut de temps pour un  blog trop souvent laissé en jachère). Grâce à un festival de jazz, j’ai eu le plaisir d’écouter le Sacre du Tympan, dirigé par Fred Pallem (à écouter ici) mais aussi le grand Avishai Cohen (son site).

 

Le Livre sur la Place – édition 2015

21 lundi Sep 2015

Posted by mrspepys in Inclassable

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Belgique, Découvertes, Livre sur la Place

livreplace2015Le week-end dernier se tenait un événement dont je suis désormais une habituée, grâce à ma soeur qui nous reçoit chaque année, à savoir Le Livre sur la Place.

Ce fut une version pluvieuse d’un salon de plus en plus à l’étroit sous le chapiteau de la place de la Carrière. Mais, avec un peu d’organisation et de patience, le cru 2015 n’a pas démérité.

Dès samedi matin, dans des allées encore praticables, j’ai eu le plaisir de rencontrer Jeanne Bennameur, dont le dernier roman (Orages intimes) me faisait de l’oeil depuis un moment, et Gaëlle Nohant, plébiscitée par les blogueuses, tout à fait à raison (billet à suivre : j’ai dévoré La Part des flammes en attendant la sélection d’octobre pour le prix ELLE). Un petit tour sur un stand belge (on ne se refait pas…) où Marc Pirlet proposait son Histoire de Bruna, inspirée d’un témoignage. Pendant ce temps, ma moitié obtenait un dessin sympathique dans une bande dessinée dont je reparlerai très vite.

L’après-midi, après un excellent déjeuner chez « Le grand blond avec un tablier noir », nous retrouvions la foule qui avait envahi les lieux. Il a fallu être patient pour échanger deux mots et demi avec Jean-Christophe Ruffin, et ruser pour échapper au déluge. Dimanche matin en revanche, sous une météo toujours maussade, Jonathan Coe attendait le lecteur avec flegme, et j’ai ajouté Expo 58 à une série croissante de titres de l’auteur.

Une fois encore, je regrette que certaines personnalités, plus que des écrivains, monopolisent l’attention d’une foule préférant prendre des photos de visages connus plutôt que de s’intéresser à la multitude d’ouvrages proposés et aux auteurs talentueux mais moins médiatisés.

En bref : des bandes dessinées

01 samedi Août 2015

Posted by mrspepys in Bande dessinée

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Découvertes, souvenirs

couvvieuxfourneaux1En vacances, on lit aussi des bandes dessinées. Et le hasard a voulu que j’en lise successivement deux dont le scénario est l’oeuvre de Wilfrid Lupano. Il sera donc le fil rouge de ce billet.

Pour le premier album, j’arrive un peu après la bataille. Il s’agit en effet du premier tome des vieux fourneaux, ces pépés peu ordinaires qui ont enchanté la critique et les lecteurs. Grâce à la médiathèque, j’ai pu enfin découvrir les pérégrinations rocambolesques de Pierrot, Mimile et Antoine sur les routes de France et d’Italie. Inutile de revenir sur l’intrigue, résumée sur moult blogs et sites. Retenons simplement qu’elle est bien construite, que les personnages sont horriblement sympathiques et que les dialogues autant que les situations sont souvent très cocasses. Pourvu que le second tome soit disponible à la bibliothèque !

Les vieux fourneaux, tome 1 (Ceux qui restent), Wilfrid Lupano et Paul Cauuet, 2014.

couvunoceandamourLa seconde lecture est une histoire muette, Un océan d’amour. Elle met en scène un pêcheur breton qui, chaque matin, après que sa femme l’a aidé à se préparer, s’embarque pour le large. Mais, un jour pas fait comme les autres, son petit chalutier est happé dans les filets d’un énorme bateau usine. Débute alors une aventure qui mène notre pêcheur, mais aussi son épouse partie à sa recherche, aux quatre coins du globe. L’histoire est très belle, mêlant aventure et émotions, avec beaucoup de drôlerie. Les dessins, que l’on admire d’autant plus en l’absence de dialogues, sont superbes. Une pépite en matière de bande dessinée, découverte grâce à ma soeur (merci Aline !).

Un océan d’amour, Wilfrid Lupano et Grégory Panacione, 2014.

Un coin de tableau #21

11 lundi Août 2014

Posted by mrspepys in Un coin de tableau

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Arts, Découvertes, peinture

Ce tableau m’est apparu sous la forme d’un marque-page, trouvé à la boutique du Louvre-Lens. La toile correspondante ne figurant pas parmi les oeuvres exposées, quelques recherches m’ont permis de retrouver sa trace dans le départements des peintures hollandaises, au Louvre.

van_hoogstraten_les_pantoufles

« Vue d’intérieur », ou « Les Pantoufles », Samuel van Hoostraten (1627-1678), 1658 ?, le Louvre.

Cette oeuvre intimiste, longtemps attribuée à Peter de Hooch, a eu une histoire un tantinet mouvementée. Il s’est vu ajouter, au XIXe siècle, des motifs (un chien, une petite fille) sous prétexte qu’il aurait été trop vide. Revenu à sa simplicité originelle, il est plus riche de sens qu’on pourrait l’imaginer à première vue…

Somnambule dans Istanbul

15 jeudi Mai 2014

Posted by mrspepys in Récits de voyages

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Découvertes, Japon, souvenirs, Voyages

couvsomnambuledansistanbulUn titre qui sonne joliment, un auteur connu et apprécié (ici) : ce fut amplement suffisant pour ajouter ce petit ouvrage à ma PAL.

C’est un recueil de souvenirs que propose cette fois Eric Faye. Il s’interroge sur ce qui fait une identité, la sienne, celle des autres. Est-ce un lieu ? une langue (comme le suggère Cioran, cité par l’auteur : »On n’habite pas un pays, on habite une langue ») ? L’identité est-elle figée ou se modifie-t-elle au fil du temps ? Pour répondre à ces questions, posées dans une très belle introduction, Eric Faye réunit des récits de voyage, « voyages en des lieux signifiants, mais aussi d’un fragment à l’autre d’un puzzle à la surface duquel affleurent peu à peu les strates successives d’un moi, strates qui ont abouti à celui qui écrit ces lignes ».

Le voyage commence à Istanbul, où le séjour n’est pas vraiment réussi. Des contretemps, des déceptions, mais surtout une étrange parenthèse, dont l’auteur, somnambule bien qu’éveillé, ne garde aucun souvenir. Puis le cap est mis vers l’Est, d’abord pour visiter la « cité interdite » de Liepaja, une ville lettone fermée aux étrangers jusqu’en 1991. Viennent ensuite plusieurs récits qui entraînent le lecteur en Europe centrale, à Kosice, où l’auteur est invité par son éditeur slovaque, en Allemagne, pour un séjour linguistique. On franchit le cercle polaire par deux fois, en Sibérie et au Groenland, avant d’explorer les mondes insulaires, des îles anglo-normandes à Porquerolles, en passant par la Grèce et les Açores. Et le périple nous mène pour finir au Japon.

Ce recueil est une petite merveille. Les différents récits sont tous très différents, mais partagent une égale capacité à dépayser. Ecrits avec une grande finesse, ils associent impressions personnelles de l’auteur et moult références cinématographiques comme littéraires. Le lecteur est plus hypnotisé que somnambule, et on en redemande. Pour ma part, séduite, je me mets en quête des précédents récits d’Eric Faye, dont Mes trains de nuit et En descendant les fleuves.

Somnambule dans Istanbul, Eric Faye, 2013.

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